Perles d'Élizabeth II et du prince Philip

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Lors d'une visite d'Etat, la reine fit un reproche à un garde du corps qui, pour la protéger, cachait le carrosse royal à la foule : « Vous savez, je crois que c'est moi qu'ils sont venus voir. »


En 1991, la reine se rendit seule, à bord de sa berline, au Royal Windson Horse Show. A l'entrée du parking VJP, l'agent de sécurité ne la reconnut pas :
« Désolée, ma petite dame, mais il faut un macaron pour entrer. - Je pense que si vous vous renseignez, répondit la reine en souriant, on vous dira que je peux entrer. »

Lors d'une cérémonie, on présenta le prince Philip à un couple d'Australiens. L'homme lui expliqua que son épouse, médecin, était quelqu'un de plus important que lui. Réponse du duc :
« Ah oui, on a le même problème dans la famille. »

Lors de la première visite officielle de la reine Elizabeth II à Paris, en 1955, où elle est accueillie par une foule en liesse : "Comment est-il possible que le peuple français ait guillotiné un roi ? "
"J'aurais aimé être une dame vivant à la campagne avec beaucoup de chevaux et de chiens."
"C'est terrible. Si je ne souris pas, j'ai un genre de visage à l'air ronchon."
"Si je portais du beige, personne ne saurait qui je suis."
"Mrs Thatcher n'écoute jamais un mot de ce que je dis."
Le prince Philip n'est pas en reste : "Je suis le seul homme du pays à ne pas pouvoir transmettre son nom à ses enfants. Je suis une espèce d'amibe."

224 pages